jeudi 26 juillet 2012

Aya Takano, To lose is to gain.

Aya Takano, Dance of the South, 2012
Aya Takano/Kaikai Kiki Co., Ltd. All rights reserved.
Galerie Emmanuel Perrotin, Paris.
Aya Takano, Furyu Odori : Celebration 2, 2012
Aya Takano/Kaikai Kiki Co., Ltd. All rights reserved.
Galerie Emmanuel Perrotin, Paris.
Aya Takano, Hathor, 2012
Aya Takano/Kaikai Kiki Co., Ltd. All rights reserved.
Galerie Emmanuel Perrotin, Paris. 
Aya Takano, Furyu Odori : Celebration, 2012
Aya Takano/Kaikai Kiki Co., Ltd. All rights reserved.
Galerie Emmanuel Perrotin, Paris.
Aya Takano, The ideal future : bristling water columns connect clouds and ocean, 2011
Aya Takano/Kaikai Kiki Co., Ltd. All rights reserved.
Galerie Emmanuel Perrotin, Paris.
Derniers jours pour aller voir la magnifique exposition To lose is it to gain présentant les dernières peintures d'Aya Takano à l'impasse Saint-Claude.
www.perrotin.com

vendredi 20 juillet 2012

Vogue Août 2012


Le numéro de Vogue du mois d'Août présente la parisienne en 80 looks photographiée par Mario Sorrenti. On pourra lire également une interview du nouveau directeur artistique de la maison Yves Saint Laurent, Hedi Slimane, ou bien encore le papier sur le créateur très réservé (mais tellement talentueux !) Haider Ackermann par Loic Prigent.

lundi 16 juillet 2012

Awol Erizku at Hasted Kraeutler

Découverte des photographies d'Awol Erizku à la galerie Hasted Kraeutler de New-York.

Awol Erizku, Boy with a Ranunculus, 2012
Courtesy gallery Hasted Kraeutler
Awol Erizku, Girl with a Bamboo Earring, 2009
Courtesy gallery Hasted Kraeutler


www.huffingtonpost.com/2012/06/22/awol-erizkus

Toujours dans la même galerie a lieu actuellement l'exposition Great Photographs : Scape
Ansel Adams, Robert Adams, Lewis Baltz, Jeff Bark, Frank Breuer, Henri Cartier-Bresson, James Casebere, Stephane Couturier, Elger Esser, Julian Faulhaber, Andreas Gefeller, Pierre Gonnord, William Henry Jackson, Patrick Jacobs, Abbas Kiarostami, Richard Misrach, Vik Muniz, Nick Knight, Koyo Okada, Clifford Ross, Joel Sternfeld, and Albert Watson.

Jeff Bark, Lucifer Falls Plate II, 2010
Elger Esser, Giverny I Frankreich, 2010 
Clifford Ross, MOUNTAIN XIII, 2005
James Casebere, Landscape with Houses (Dutchess County, NY) 
hastedkraeutler.com

mardi 10 juillet 2012

Haute-couture à Paris, automne hivers 2012-13

Givenchy by Riccardo Tisci
Iris van Herpen, Hybrid Holism
Yiqing Yin
Giambattista Valli
Giambattista Valli
Giambattista Valli
Giambattista Valli

Giambattista Valli signe une collection luxuriante dédiée au végétal à travers laquelle des femmes fleurs attirent les papillons. Magnificence des coupes et des motifs. Iris van Herpen toujours aussi futuriste et étrange avec ses vêtements plastifiés en sculpture 3D conçus par des machines. Riccardo Tisci pour Givenchy, une collection noire, ethnique et gothique. Très beau travail de tissage à partir de lanières de cuir. Yiqing Yin dessine une silhouette très poétique, gracieuse et évanescente à travers cette collection très réussie.

jeudi 5 juillet 2012

Trois chefs-d'œuvres exposés à la Frick Collection

Johannes Vermeer, Girl interrupted at her music, 1658-59
Titian, Portrait of a man in a red cap, 1510
Jean-Auguste-Dominique Ingres, La comtesse d'Haussonville, 1845

Sorte de "musée Jacquemart-André" à la New-Yorkaise, The Frick Collection regroupe les chef-d'œuvres du collectionneur Henry Clay Frick (1849-1919) au sein de son somptueux hôtel particulier de la cinquième avenue avoisinant Central Park.
Je n'avais jamais vu une telle accumulation de chefs-d'œuvres de l'histoire de l'art chez un particulier. Les grands maîtres de la peinture sont réunis : Fragonard, Rembrandt van Rijn, Giovanni Bellini, El Greco, Frans Hals, Johannes Vermeer, François Boucher, Thomas Gainsborough, Sir Joshua Reynolds, Joseph Mallord William Turner, James McNeill Whistler, Francesco Laurana, Jean-Antoine Houdon, Severo da Ravenna Calzetta,  Constable, Ruisdael, Corot, Rembrandt, Velázquez, Degas, Manet, Renoir, Goya, A.Van Dyck, Claude Lorrain,  Holbein, Titian, De la Tour, Ingres, Van Eyck, Hans Memling, Brueghel et tant d'autres. Dans une galerie bordant le jardin intérieur se trouve la toile d'Ingres, La comtesse d'Haussonville, d'une beauté hypnotisante.
Un lieu unique, cosy et majestueux où règne le bon goût d'Henry Clay Frick et sa volonté de rendre accessible les Beaux-arts à un large public.

www.frick.org

vendredi 1 juin 2012

Wim Delvoye, Au Louvre jusqu'au 17 septembre 2012

Wim Delvoye, Daphnis et Chloé
Wim Delvoye, L'étincelle divine Rorschach
Wim Delvoye, Suppo, acier inoxydable coupé au laser, 2010

Vues de l'exposition Au Louvre de Wim Delvoye, photographies : Alice Bénusiglio.

Wim Delvoye signe une exposition majestueuse et irrévérencieuse intitulée "Au Louvre". L'exposition commence par un énorme "suppo(sitoire)" néogothique, léger et gracieux, installé sous la pyramide. Elle se poursuit dans les appartements Napoléon III au style baroque si chargé qu'il semble saugrenu de vouloir y installer des œuvres. L'artiste relève le défi avec succès. Il répond à l'histoire avec humour et talent tout en nous plongeant dans son univers gothique, baroque et artisanal, teinté parfois de scatologie ou de sexe. Ses sculptures sont étranges, à la fois classiques et contemporaines, certaines sont inspirées par les tests de Rorschach, d'autres sont des Daphné et Chloe ou des crucifix torsadés comme pour donner le tournis à l'histoire de l'art. La conception informatisée des œuvres permet à l'artiste de jouer avec les volumes en faisant twister précisément ses sculptures de façon à laisser la forme originale lisible. Le résultat est saisissant.

jeudi 31 mai 2012

Souvenirs de l'ange de la métamorphose de Jan Fabre

Retour sur l'exposition de Jan Fabre, l'Ange de la métamorphose ayant eu lieu au printemps 2008. L'artiste avait été invité par le musée du Louvre à investir les salles de peinture consacrées aux Ecoles du Nord. Cette exposition spectaculaire commençait et finissait par un autoportrait de Jan Fabre, le premier "Je me vide de moi-même", représentait l'artiste se cassant le nez littéralement à l'histoire tout en se vidant de son sang, le deuxième "Autoportrait en plus grand ver du monde", représentait l'artiste sous forme d'un immense vieux ver de terre rampant au milieu des stèles en proférant : "Je veux sortir ma tête du nœud coulant de l'histoire".
Critique Paris Art Julia Peker, Critique Valérie Duponchelle, France culture, Isabelle Lassalle.