Bart Baele, Der schade - le dommage, 2010
Huile sur toile 190 x 161 cm
Courtesy Galerie Polaris
Courtesy Galerie Polaris
Bart Baele, autoportrait (le théatre)
huile sur toile 59,5 x 40 cm
photo Hendrik Braem
Courtesy Galerie Polaris
huile sur toile 59,5 x 40 cm
photo Hendrik Braem
Courtesy Galerie Polaris
Pourquoi la peinture flamande me plaît-elle autant ? Je me sens bien dans son univers caustique qui se moque de la mort. Son aspect surréaliste, clownesque et enfin ce ton parfaitement irrévérencieux m'enchantent. La peinture de Bart Baele n'est pas sans rappeler celle de James Ensor.
"Son œuvre peut être considérée comme un récit fragmenté : chaque dessin, chaque peinture, chaque sculpture recueille un moment de sa vie, comme une confession révélant le psychisme meurtri de l’artiste. Mais elle recèle aussi — et c’est sans doute la raison de sa prégnance très contemporaine — une composante mystérieuse, un idéalisme mêlant souffrance et rédemption, suscitant chez le spectateur des interrogations toujours nouvelles."
(extrait du communiqué de la galerie)
Bart Baele, Le Flamand craquelé
jusqu'au 26 février 2011
Galerie Polaris
15 rue des Arquebusiers
75003 Paris
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