samedi 14 septembre 2013
vendredi 21 juin 2013
Les Paper Dolls d'Yves Saint Laurent
Mannequin Bettina, Yves Saint Laurent 1953-1954 |
Robe créée pour Bettina, Yves Saint Laurent, 1953-1954 |
Mannequin Suzy, Yves Saint Laurent 1953-1954 |
Manteau soir créé pour Suzy, Yves Saint Laurent 1953-1954 |
Robe créée pour Suzy, Yves Saint Laurent 1953-1954 |
Mannequin Vera, Yves Saint Laurent 1953-1954 |
Manteau soir créé pour Vera, Yves Saint Laurent 1953-1954 |
Robe soir créée pour Vera, Yves Saint Laurent 1953-1954 |
La fondation Pierre Bergé Yves Saint Laurent propose de jouer à la poupée avec la maison de couture de papier sur son site. Une façon ludique et élégante pour redécouvrir le vestiaire fabuleux du couturier de génie. On peut ainsi habiller la célèbre mannequin Bettina, avec une préférence pour les tenues "Cocktail" et "Soir".
Fondation Pierre Bergé Yves Saint Laurent
jeudi 20 juin 2013
James Turrell Chez Almine Rech et au Solomon R. Guggenheim Museum
James Turrell, Aten Reign, 2013. Solomon R. Guggenheim Museum. Photo : David Heald © SRGF |
James Turrell, Enzu Blue, 1968 |
James Turrell, vue de l'exposition au Solomon R. Guggenheim Museum. |
Communiqué de la galerie Almine Rech :
La galerie Almine Rech a le plaisir de présenter la 7ème exposition personnelle de James Turrell depuis 1999. En 1990, Almine Rech avait organisé la première exposition de galerie en Europe de James Turrell, comportant une Light Piece intitulée « Blood Lust ».
« La lumière est le matériau que j'utilise, la perception le médium, mon travail n'a pas de sujet, la perception est le sujet, il n'y a pas d'image car la pensée associative ne m'intéresse pas. »
— James Turrell
« En 1966 et 1967, lorsqu'il réalise la série des PROJECTION PIECES [ en 1966 et 1967, elles sont blanches. James Turrell introduit des Projections en couleur en 1968 ] constituée chacune d'un projecteur quartz halogène préparé de sorte qu'il projette une forme spécifique de lumière dans l'angle de deux murs ou à plat sur un mur, James Turrell pose les bases de son oeuvre de manière fulgurante. Les Projections, sortes d'ovnis dans le monde artistique occidental des années 1960, ne furent comprises et reconnues que par un petit nombre. À cette époque, sur la carte géographique de l'art contemporain occidental, la Californie est, relativement, un territoire éloigné. "Une terre d'expériences et de liberté", souligne James Turrell, qui peut montrer l'ensemble des Projections en 1967 au Musée de Pasadena (1) et trouver un sponsor à la poursuite de ses recherches auprès du Los Angeles County Museum of Art, dans le "Art and Technology Program" en même temps que l'artiste Robert Irwin et le psychologue perceptuel Edward Wortz. Il peut notamment créer des chambres expérimentales, entièrement noires ou insonores, ou encore envahies de lumière colorée afin d'explorer les effets de stations dans ces circonstances sur notre vision. Ces travaux tiennent lieu d'études pour des oeuvres ultérieures conçues dans les années 1970 et 1980. »(2)
Cette exposition personnelle de James Turrell présentera une oeuvre historique de 1968, la projection « Prado, Red » faisant partie de la première série devenue iconique de son oeuvre et qui fut montrée au Pasadena Art Museum, ainsi que des Light Reflective Pieces créées en 2012, qui sont des captures de lumière en trois dimensions réalisées par l'artiste dans l'Arizona seront exposées et des sculptures en bronze, plâtre et résine du Roden Crater.
James Turrell est né en 1943 à Los Angeles, il vit et travaille en Arizona. En 2013, James Turrell fait l'objet d'une importante rétrospective aux Etats-Unis, qui sera inaugurée le 26 mai au LACMA à Los Angeles puis au Museum of Fine Arts à Houston le 9 juin et enfin au Guggenheim à New York le 21 juin.
1. Exposition « James Turrell », Pasadena Art Museum, Californie, 1967. Une œuvre fut vendue et l’exposition suscita un intérêt critique auprès de la communauté artistique.
2. Texte extrait de Rencontres 9 James Turrell / Almine Rech. Almine Rech Éditions / Éditions Images Modernes, 2005. Le regard en suspens, p. 37-144.
James Turrell, Prado, Red, 1968. Galerie Almine Rech |
guggenheim.org
vendredi 3 mai 2013
Riccardo Tisci crée les costumes pour le Boléro
Croquis de Riccardo Tisci |
dimanche 28 avril 2013
Jan Fabre, Gisants
Jan Fabre, Gisant (The Brain's Secand Breath), 2012 |
Jan Fabre, Gisant (The golden Jelly of the Brain), 2012 |
Jan Fabre, Gisant (The Silk Spun in the Brain), 2012 |
Jan Fabre, Gisant (Hommage à Elizabeth Caroline Crosby), 2012 |
Jan Fabre, Gisant (Hommage à Elizabeth Caroline Crosby), 2012 |
Jan Fabre, Gisant (The Sound of the Soul), 2012 |
Jan Fabre, Gisant (Water-ballet of the Brain (Finale)), 2012 |
Jan Fabre, Gisant (Hommage à K.Z. Lorenz), 2012 |
Jan Fabre, Gisant (Hommage à K.Z. Lorenz), 2012 |
Billet sur l'exposition
L'ange de la métamorphose
Janfabre.be
lundi 15 avril 2013
Ron Mueck à la Fondation Cartier, un regard profondément humaniste
Ron Mueck, Woman with shopping (détail), 2013 Courtesy Hauser et Wirth/Anthony d'Offay, Londres Photographie Alice Bénusiglio |
Ron Mueck, Couple under an umbrella, 2013 Courtesy Hauser et Wirth/Anthony d'Offay, Londres Photographie Alice Bénusiglio |
Ron Mueck, Woman with shopping, 2013 Courtesy Hauser et Wirth/Anthony d'Offay, Londres Photographie Alice Bénusiglio |
La première exposition de la Fondation Cartier consacrée à l'artiste remonte à 2005. Elle connut un succès retentissant accompagné d'une fréquentation inégalée. L'œuvre de Ron Mueck est populaire bien que l'artiste n'ait jamais recours à la séduction. Ses sculptures représentent souvent des personnages solitaires avec un physique banal. Tous les âges de la vie sont représentés du nouveau-né au vieillard. L'artiste ne porte pas un regard esthétique sur le corps, il tente de se rapprocher du réel sans jamais le copier véritablement grâce au changement d'échelle. Certaines sculptures présentent des personnages dans des situations ordinaires : un couple de personnes âgées se prélassant sous un parasol (Couple under an umbrella), une femme portant ses sacs de courses avec son bébé attaché contre sa poitrine (Woman with shopping), d'autres situations sont parfois plus étranges : une femme nue portant un amas de branchages (Woman with sticks), un homme nu partant à la dérive sur une barque (Man in a boat). Quelques soient les circonstances dans lesquelles le personnage se trouve, le spectateur rentre en empathie immédiate avec l'œuvre, perçoit un état psychologique.
La précision des expressions ainsi que l'exactitude de la représentation du corps humain dans ses moindres détails (pilosité, ridule, transparence de la peau, etc) sont le fruit d'un long processus créatif méticuleux presque mystique. Le film de Gautier Deblonde Still life : Ron Mueck at work dévoile à travers une succession de plans fixes le travail de l'artiste au quotidien avec ses deux assistantes. L'ambiance dans l'atelier est monacale. Le réalisateur témoigne "Avant tout, c’est un film sur le temps. Le plus frappant, peut-être le plus fascinant lorsqu’on regarde cet artiste à l’œuvre, c’est ce qu’il y a de répétitif et de concentré dans son travail. Il peut passer plusieurs jours à reproduire le même mouvement : plus rien n’existe, à part son mouvement, sa terre, sa résine ou sa peinture." Le film montre également la concentration totale de l'artiste pendant son processus créatif "Techniquement, Ron Mueck est extrêmement perfectionniste, et les trois œuvres que l’on découvre sont encore plus réalistes que les précédentes. Dans le film, on le voit travailler sur la sculpture de la mère à l’enfant, posée face à nous : ce n’est encore que de la terre, il la lisse avec une éponge. Il fait la toilette de cette femme, et tout à coup on dirait qu’elle prend vie. En réalité c’est la partie la plus importante dans la réalisation de la sculpture : Ron Mueck travaille vraiment tout seul pendant ce moment parce que c’est là qu’il donne à ses sculptures leurs formes finales, jusque dans les moindres détails. C’est grâce à cette silhouette en terre qu’il crée un moule pour y couler la résine. Bien sûr, c’est sur la résine qu’il place ensuite les cheveux, les yeux, les nuances de peau. Mais la texture de la peau, les plis, la présence des rides suivant l’âge des gens qu’il représente : tout a été fait sur la terre. Si ce moment n’est pas réussi, il n’y a pas de retour possible par la suite."
Atelier de Ron Mueck, octobre 2009, © Ron Mueck
Photo © Gautier Deblonde
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Atelier de Ron Mueck, janvier 2013, © Ron Mueck
Photo © Gautier Deblonde
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Ron Mueck, Couple under an umbrella (détail), 2013 Courtesy Hauser et Wirth/Anthony d'Offay, Londres Photographie Alice Bénusiglio |
Ron Mueck, Woman with sticks, 2009 Courtesy Hauser et Wirth/Anthony d'Offay, Londres Photographie Alice Bénusiglio |
Ron Mueck, Man in a boat, 2002 Courtesy Hauser et Wirth/Anthony d'Offay, Londres Photographie Alice Bénusiglio |
Fondation Cartier pour l'art contemporain
RON MUECK du 15 avril au 29 septembre 2013
261, bd Raspail, Paris
Still Life: Ron Mueck at Work
vendredi 29 mars 2013
Cécile Decorniquet, Enfances
Cécile Decorniquet, Lady 7, 2009 |
Cécile Decorniquet, Come et Capucine, 2009 |
Cécile Decorniquet, Midsummer, 2013 |
Cécile Decorniquet, Cernunnos, 2012 |
Cécile Decorniquet porte un regard saisissant sur l'enfance et compose chaque photographie comme un tableau. Le soin apporté à l'élégance du stylisme et des accessoires crée un univers particulier entre l'enfance et l'âge adulte. La grand-mère de l'artiste était couturière et lui a certainement retransmis ce goût du détail et du sur-mesure. Quelques ravissantes robes sont présentées au côté des photographies, elles nous plongent dans l'univers artistique tout en délicatesse de la photographe.
mercredi 27 mars 2013
Erwin Olaf, Berlin, Hasted Kraeutler gallery, NY
Erwin Olaf, Berlin, Altes Stadhaus Mitte, 8th of July, 2012 |
Erwin Olaf, Berlin, Clärchens Ballhaus Mitte, 10th of July, 2012 |
Erwin Olaf, Berlin, Rathaus Schöneberg, 9th of July, 2012 |
Erwin Olaf, Berlin, Porträt, 9th of July, 2012 |
Erwin Olaf, Berlin, Porträt 08, 10th of July, 2012 |
Erwin Olaf, Berlin, Porträt 05, 9th of July, 2012 |
Erwin Olaf, Berlin, Porträt 16, 8th of July, 2012 |
3 question à Erwin Olaf, Le Monde
Keyhole installation Erwin Olaf
The dark Side d'Erwin Olaf
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