samedi 10 juin 2017

Mon esperluette pour la fonderie Velvetyne et la maison d’édition –zeug


Esperluette dessinée par Alice Benusiglio en hommage à Alais de Beaulieu

L’esperluette ou esperluète (nom féminin), également appelée perluette, perluète ou « et » commercial, désigne le logogramme &. Elle résulte de la ligature des lettres de la conjonction de coordination « et » et possède la même signification. (cf.wikipédia)
Voici mon esperluette suite à l’appel à contribution mondial lancé par la fonderie Velvetyne et la maison d’édition -zeug. La collection est visible sur Velvetyne's Worldwide ampersand call et réunit 450 esperluettes, 288 d’entre elles feront l’objet d’une publication aux éditions -zeug, en compagnon de l’ouvrage Évolutions formelles de l’esperluette de Jan Tschichold (septembre 2017). Cette collection sera également publiée sous forme de typographie libre chez VTF. Ce projet créatif et ludique, ouvert aux amateurs et aux professionnels met en lumière la grande diversité de formes que l’on peut créer à partir d’un signe.
En travaillant sur les écritures du XVIIe siècle, je me suis intéressée à l’écriture bâtarde qui incarne l’âge d’or de la calligraphie française. Cette écriture est admirablement écrite et décrite par Alais de Beaulieu dans l’Art d’écrire. Mon esperluette reprend la forme typique de « l’Alfabet Bâtard » de Jean-Baptiste Alais de Beaulieu de 1680.

http://www.zeug.fr/info/
http://velvetyne.fr/
http://alicebenusiglio.com/

lundi 1 mai 2017

London Now by Tim Walker dans le magazine I-D


Retour en images sur le somptueux magazine londonien I-D du mois d’avril 2017 avec comme special guest le photographe Tim Walker à l’univers onirique unique. Ce numéro très créatif réunit tous les meilleurs talents du moments, rédacteurs, créateurs, photographes, designers, stylistes, maquilleurs, coiffeurs, DJ, artistes, modèles. Le mot d’ordre de ce “creativity issue” : “Stay weird, Stay different” avec un style typiquement londonien, profondément cosmopolite et excentrique. Pari réussi pour ce magazine à la direction artistique très libre, présentant des séries modes hétéroclites particulièrement originales. Le chapitre “Stay different” démarre par une magnifique série signée Grace Coddington présentant les vêtements de John Galliano pour la Maison Margiela. Le chapitre “To create” démarre avec un portrait de l’artiste designer James Merry suivi d’une somptueuse série mode incarnée par Tilda Swinton portant des vêtements signés Studio FBG et des coiffes signée Spencer Horne. Le magazine s’achève avec une interview d’une icône de la mode japonaise, Rei Kawakubo, créatrice de la marque Comme des Garçons.