vendredi 29 mars 2013

Cécile Decorniquet, Enfances

Cécile Decorniquet, Lady 7, 2009
Cécile Decorniquet, Come et Capucine, 2009
Cécile Decorniquet, Midsummer, 2013
Cécile Decorniquet, Cernunnos, 2012
Les infirmières galerie présente à travers l'exposition Enfances le travail de la photographe Cécile Decorniquet. Cette exposition personnelle permet d'avoir un aperçu sur les séries qu'elle réalise depuis plusieurs années : Les Ingénues, Ladies, Frères et sœurs, Allégories. Une photographie de sa dernière série Fables est également présentée, elle se nomme Cernunnos en référence au dieu gaulois.
Cécile Decorniquet porte un regard saisissant sur l'enfance et compose chaque photographie comme un tableau. Le soin apporté à l'élégance du stylisme et des accessoires crée un univers particulier entre l'enfance et l'âge adulte. La grand-mère de l'artiste était couturière et lui a certainement retransmis ce goût du détail et du sur-mesure. Quelques ravissantes robes sont présentées au côté des photographies, elles nous plongent dans l'univers artistique tout en délicatesse de la photographe.

mercredi 27 mars 2013

Erwin Olaf, Berlin, Hasted Kraeutler gallery, NY

Erwin Olaf, Berlin, Altes Stadhaus Mitte, 8th of July, 2012
Erwin Olaf, Berlin, Clärchens Ballhaus Mitte, 10th of July, 2012
Erwin Olaf, Berlin, Rathaus Schöneberg, 9th of July, 2012
Erwin Olaf, Berlin, Porträt, 9th of July, 2012
Erwin Olaf, Berlin, Porträt 08, 10th of July, 2012
Erwin Olaf, Berlin, Porträt 05, 9th of July, 2012
Erwin Olaf, Berlin, Porträt 16, 8th of July, 2012
Les photographies récentes de l'excellent photographe néerlandais Erwin Olaf sont présentées à travers l'exposition Berlin à la galerie Hasted Kraeutler à New York. Parallèlement l'artiste expose une présentation de son installation The Keyhole à La Sucrière de Lyon.

3 question à Erwin Olaf, Le Monde
Keyhole installation Erwin Olaf
The dark Side d'Erwin Olaf

jeudi 14 mars 2013

Le style Alber Elbaz chez Lanvin, collection hiver 2013




© Lanvin, Backstage, Photography by Mark Leibowitz

Threeasfour, collection Ophiuchus, fall winter 2013





Backstage du défilé Threeasfour à NY, photographies Elisabet Davids
A travers cette dernière collection, les designers de la marque ThreeASFOUR se sont inspirés des astres et de la constellation Ophiuchus.

Alexander Mc Queen, collection automne hiver 2013




Photographies prises par les équipes de la maison Mc Queen pendant les coulisses du défilé.
Collection hiver 2013
Quelques photographies de l'incroyable dernière collection Alexander Mc Queen. Sarah Burton propose une garde robe ecclésiastique ultra sophistiquée en réinterprétant les crinolines, corsets et autres fraises. La luxuriance des broderies semées de perles est de toute merveille.

"THE ECCLESIASTICAL WARDROBE, FROM COMMUNION GOWNS TO CARDINALS’ ROBES. THE HIGH CHURCH. NUNS, POPES, ANGELS. BALLETS RUSSES. VIRGIN QUEEN. The collection comprises ten looks, presented in pairs. The waist is cinched and the hips are exaggerated throughout. Volumes are overblown but lightness is paramount. Hyper-worked embellishment demonstrates an obsessive attention to detail – and detail within detail. Sharp pressing, multiple folds, quintuple and dégrade pleats, soutache embroidery, triple bulleting, silk and metal thread embroideries, enamelled flowers and more all feature. Rhombic grids lend a sense of graphic modernity to surfaces. Pearls and teardrop pearls evoke beauty and rarity. Hoop skirts, caging and corsetry enhance and idealize a quintessentially feminine silhouette and introduce an erotic undercurrent further suggested by stockings, suspender belts and harnessing. Each look is worn with an embellished ruff: faces are framed."

voir la collection

mercredi 13 mars 2013

Jan Fabre, Gisants, galerie Daniel Templon

Jan Fabre, Gisant (Hommage à C.E. Crosby), 2012

Jan Fabre, Gisant (Hommage à K.Z. Lorenz), 2012
La galerie Daniel Templon expose les Gisants de Jan Fabre. Ces œuvres à la facture exceptionnelle sont éblouissantes. Tout comme Wim Delvoye, Jan Fabre s'intéresse à la science et à l'art gothique. Il interprète à sa façon un genre de sculptures appartenant au passé qu'il modernise merveilleusement. La splendeur des gisants est telle qu'on en oublie le sujet morbide abordé. La grâce d'une libellule posée sur un cerveau ou d'un papillon sur un front nous entraine dans un climat serein teinté de poésie.



Communiqué de la galerie :
Deux ans après le succès de Piètas à la Biennale de Venise, Jan Fabre transforme la Galerie Templon en chambre sacrée. Les deux espaces de la galerie accueillent un couple de gisants en marbre de Carrare accompagné de sculptures de cerveaux habités d’insectes et de plantes. Après s’être emparé du thème de la pièta, Jan Fabre se confronte à la tradition séculaire de la mise en scène de la mort.
L’artiste rend hommage à deux personnalités dont les découvertes ont éclairé le siècle passé : Elizabeth Caroline Crosby (1918-1983), neuro-anatomiste américaine et Konrad Zacharias Lorenz (1903-1989), biologiste et zoologiste autrichien. Fervent défenseur du dialogue entre les champs de la connaissance, Jan Fabre a déjà travaillé sur les neurosciences, notamment avec le film Is the brain the most sexy part of the body ? (2007)
Si les sculptures funéraires invitent à la méditation sur la vanité de l’existence, la mise en scène de Jan Fabre questionne les liens de l’homme avec la nature et sa propre nature. Le cerveau, siège de l’intelligence et de la créativité, apparaît comme un protecteur, un guide possible dans l’au-delà. Les insectes - papillons, abeilles, araignées, scarabées - adoptent la fonction traditionnellement dévolues aux chiens ou aux lions des sépultures royales, posés aux pieds des gisants : celle de la résurrection.
Né en 1958 à Anvers, Jan Fabre est reconnu depuis la fin des années 1990 pour son œuvre d’homme de théâtre, de plasticien et d’auteur. Il s’intéresse depuis 1976 à l’art de la performance, et se lance en 1980 dans la mise en scène et la chorégraphie. Depuis, il a réalisé une trentaine de pièces mêlant danse et théâtre, dont la radicalité déclenche régulièrement la polémique, comme Je suis sang (2000) ou L’Orgie de la Tolérance (2009). En mai 2013 il présentera au Théâtre de la Ville à Paris The Tragedy of a Friendship consacré à la relation entre Nietzsche et Wagner.
Dessinateur invétéré, Jan Fabre crée des sculptures, modèles et installations qui font vivre ses grands thèmes de prédilection tels que la métamorphose ou l’artiste comme guerrier de la beauté. Parmi ses expositions personnelles les plus marquantes ces dernières années on peut citer celle du Museum voor Hedendaagse Kunst à Anvers en 2006 et du Musée du Louvre en 2008. Récemment, l’artiste a fait l’objet d’expositions au Kröller-Müller Museum d’Otterlo au Pays-Bas (Hortus/Corpus, 2011), au Kunsthistorisches Museum de Vienne et au Musée d’art moderne de St Etienne (Jan Fabre. Les années de l’heure bleue, 1986 – 1991, 2011). Le catalogue bilingue anglais/français de l’exposition, avec des textes de Jo Coucke, Marie Darrieussecq, Vincent Huguet et Bernard Marcelis, sera disponible à la mi-février 2013.

L'ange de la métamorphose, Jan Fabre
janfabre.be
www.danieltemplon.com

dimanche 3 mars 2013

Mary Katrantzou, collection automne hiver 2013.14






Mary Katrantzou, backstage à Londres, collection automne hivers 2013.14
Retour sur les coulisses du défilé de la créatrice grecque Mary Katrantzou. Une collection avec un travail soigné sur les imprimés, des volumes XXL. Les modèles étaient coiffées avec des franges arrondies à la mode sixties.

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